lundi 23 octobre 2017

LA MUDRA DE YOGA POUR DEVENIR RICHE

Vous avez l’impression d’être à une période de votre vie où vous rencontrez un blocage ? Un blocage d’énergie mais surtout un blocage au niveau de votre situation financière. Vous avez beau travailler d’arrache-pied, les compensations financières ne suivent pas ? On ne parle pas ici d’une opulence de richesse, mais de pouvoir vivre sa vie correctement en se faisant parfois des petits plaisirs. Si vous en avez marre d’être à découvert, il est temps de régler ce problème, car oui vous avez la possibilité de le régler vous-même. Votre blocage provient d’un blocage énergétique, pour le régler vous allez devoir utiliser une mudra de yoga.



QU’EST-CE QU’UNE MUDRA DE YOGA ?

Une mudra de yoga est une position de yoga avec les mains. En sanskrit « mudra » signifie « signe » ou encore « seau ». C’est une position qui va permettre à votre corps de libérer certaines énergies. En fonction de la mudra que vous utilisez vous pouvez harmoniser votre corps, contrôler certaines de vos émotions, développer certaines capacités et augmenter votre concentration. On retrouve souvent ce genre de signe avec les doigts dans la danse, notamment dans la danse indienne.
Le principe est de créer des formes avec vos doigts pour générer de l’énergie, c’est le même principe que le yoga avec le corps. Ici vous allez chercher à débloquer votre situation qui provoque un blocage financier dans votre vie.

COMMENT RÉALISER LA BONNE POSITION DE MUDRA DE YOGA POUR LES PROBLÈMES FINANCIERS ?

  • Installez-vous debout ou assis, peu importe tant que c’est une position que vous pourrez tenir longtemps.
  • Secouez vos doigts, vos mains puis tout votre corps et taper des mains, ce processus va activer vos énergies.
  • Placez vos mains en face de vous, paumes vers le haut. Rapprochez vos mains l’une de l’autre jusqu’à ce que vos petits doigts soient en contact. Ensuite rassemblez l’index, le majeur et le pouce de chaque main.
  • Tenez cette position pendant 15 minutes et essayez de ressentir les canaux d’énergie qui s’active et circule dans votre corps.
  • Pratiquez cette position deux fois par jour durant 15 minutes, sur une durée minimum de 21 jours et maximum 40 jours.
Cette mudra de yoga est facile à faire et discrète, vous pouvez la réaliser durant vos temps de transports par exemple, lorsque vous allez ou revenez du travail. Soyez patients, l’argent arrivera à vous.
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dimanche 15 octobre 2017

Confession d’un riche appauvri Jésus et le jeune homme riche


Nous sommes tous, plus ou moins, devenus pauvres. Témoignage.

Dans une autre vie j’ai été chef d’entreprise, qui plus est en France. Je suis donc un rescapé, qui ne regrette pas d’avoir pris la route de l’exil, il y a bientôt quatorze ans, et d’être parti pour un pays, la Suisse, où il se trouve si bien qu’il en est devenu citoyen. Bien que je sois loin d’eux maintenant, à tous points de vue, dans un pays paradisiaque en comparaison de celui où ils sont demeurés, j’ai gardé le contact avec un certain nombre de mes anciens confrères. Ce qu’ils me racontent sur la vie infernale qui est devenue la leur, sur le découragement qui les étreint, sur la déconsidération dont ils font l’objet de la part de leurs concitoyens, m’a inspiré un petit texte que je leur dédie, avec toute mon amitié attristée par leur sort.
***
Tout jeune déjà je voulais être riche, je ne voulais pas être pauvre. Je me disais qu’être riche me permettrait de faire tout ce que je voulais, sans nuire pour autant aux autres, bien entendu, et, comme j’avais reçu une éducation chrétienne, je me disais que je pourrais de surcroît faire du bien autour de moi.
En voulant faire du bien autour de moi, je ne chercherais pas à me donner bonne conscience, mais, parce que rien de ce qui est humain ne m’a jamais été étranger, très naturellement, une fois riche devenu, je voudrais, de moi-même, aider mes frères humains, proches ou lointains, qui auraient moins réussi que moi.
Cependant j’avais un peu honte d’aspirer à devenir riche. Ce n’était pas bien d’être riche. N’était-ce pas, déjà à mon époque, ce que j’entendais tous les jours, sur tous les tons, dans mon pays, la France ? Je n’avais pas encore compris que nombre de ses habitants succombaient à la tentation de commettre le péché d’envie et qu’ils seraient toujours plus nombreux.
Cette envie poussait mes compatriotes à vouloir faire payer les riches plutôt que de se donner la peine de le devenir eux-mêmes. Cette tentation n’était pas nouvelle. Elle provenait de l’idée d’égalité matérielle, bien différente de celle d’égalité en droit, qui procède, pour les croyants dont je suis, de l’égalité devant Dieu.
Avant de me lancer, il me fallait toutefois vaincre un autre obstacle. Dans ma tête trottait la parabole du riche au salut difficile. Une fois riche devenu, après avoir observé les dix commandements de Dieu, devrais-je pour autant vendre tout ce que j’aurais accumulé de richesses pour le distribuer aux pauvres ?
Il me fallut du temps pour comprendre le sens que je devais donner à cette parabole. En fait, je ne devais tout simplement pas mettre la richesse en tête de mes priorités, je devais la mettre à sa juste place, non pas celle d’une fin, mais celle d’un moyen, au service de mes aspirations solidaires les plus profondes.
« De toute façon », me disais-je, « tout cela n’est que conjecture. Tu n’es pas riche, tu es même plutôt pauvre. Ce problème existentiel ne se posera à toi que lorsque tu seras riche. Ce qui n’est pas gagné. Car, comment riche deviendras-tu ? »
Il ne m’a pas fallu longtemps pour me rendre compte que ma principale richesse se trouvait en moi : il me fallait cultiver mon esprit, il me fallait acquérir des connaissances pour le nourrir, si possible dans un domaine qui lui plairait. À partir de là, tous les espoirs me seraient permis.
Mes connaissances me permettraient d’innover, de créer des biens ou des services que je pourrais échanger avec d’autres contre d’autres biens ou d’autres services. Si j’étais un tant soit peu malin, je pourrais faire comme la fourmi de la fable, mettre de côté une partie de ce que j’aurais reçu en échange de ce que j’aurais produit et m’en servir ultérieurement pour investir dans ce qui me permettrait de produire d’autres biens ou d’autres services.
Pendant des années, j’ai réalisé ce beau programme et suis devenu riche. J’ai même pu, comme j’en avais l’intention dès le départ, aider des frères humains qui avaient moins bien réussi que moi, à commencer par ma famille au sens strict, puis au sens large, pour finir par des personnes plus éloignées qui ne demandaient qu’une chose, que quelqu’un leur mette le pied à l’étrier, quitte à lui manifester leur reconnaissance sur laquelle il ne comptait pas.
Chaque année, cependant, je devais me rendre compte que l’accroissement de mes richesses ralentissait, quelque effort que je fournisse. Pourtant, je produisais toujours autant de biens et de services et ma petite entreprise ne connaissait pas la crise. Mais quantité produite ne signifie pas croissance de richesses. Je l’ai appris à mes dépens.
Force me fut en effet de constater que, furtivement, j’étais exproprié d’une part de plus en plus importante des fruits que je produisais. Au début, cela n’était pas sensible, la productivité accrue de ma petite entreprise compensait plus que largement ce qui m’était soustrait. Au bout d’un certain nombre d’années, toutefois, ce ne fut plus le cas.
Pendant longtemps je crus naïvement que l’État était là pour faire respecter les contrats que je concluais avec d’autres – j’avais confiance en la justice de mon pays – et pour assurer la sécurité des biens et des personnes. Au contraire de remplir ces rôles que je croyais justifications de son existence, il distribuait de plus en plus, à ma place, de mes richesses à ceux qu’il considérait réglementairement comme des pauvres, toujours plus nombreux.
Alors, je le confesse, comme moult de mes confrères, j’ai levé le pied. Je ne me suis plus astreint à faire mes deux fois trente-cinq heures par semaine. J’ai gagné moins, je me suis appauvri en quelque sorte, comme tout le monde autour de moi. À quoi bon rester riche ? Je ne suis plus à même d’aider les autres, ce que je faisais naguère de bon cœur. Nous sommes tous, plus ou moins, devenus pauvres…

L'espace de quelques heures, l'Américain Reggie Theus a détenu la plus grande fortune mondiale du moment, et sans doute la plus grande de l'histoire

L'espace de quelques heures, l'Américain Reggie Theus a détenu la plus grande fortune mondiale du moment, et sans doute la plus grande de l'histoire. Le compte de ce modeste gérant d'un restaurant à Jacksonville (Texas) a ainsi été crédité de plus de 4 000 milliards de dollars. Seul problème, il s'agissait d'une erreur informatique... 

Reggie Theus a sûrement dû se pincer pour être sûr qu'il ne rêvait pas. Comme le font un bon nombre de personnes ordinaires, ce gérant d'un restaurant de Jacksonville (Texas) était simplement en train de consulter son compte bancaire en ligne quand il a remarqué une anomalie aussi voyante que surprenante. Le solde de son compte s'élevait en effet à la somme astronomique de 4 040 404 040 404 dollars et 4 cents, soit, donc, plus de 4 000 milliards de dollars (!), l'équivalent de presque 3 000 milliards d'euros.

 Loin devant Bill Gates et Carlos Slim


 "J'ai évidemment été très surpris quand j'ai regardé mon compte et que j'ai vu qu'il y avait autant d'argent dessus", a expliqué Reggie Theus, interviewé par Jamey Boyum, journaliste de la chaîne de télévision locale KLTV. Trop beau pour être vrai, forcément, mais il ne s'agissait pourtant pas d'une illusion d'optique.

 "Je me suis déconnecté et reconnecté huit fois juste pour voir si la somme était toujours là, mais à chaque fois, elle était toujours là. Exactement le même montant !", raconte cet Américain. En l'espace d'un instant et sans y être pour quoi que ce soit, Reggie Theus était donc devenu l'homme le plus riche de la planète, devançant largement son compatriote Bill Gates (69,6 milliards de dollars) et le Mexicain Carlos Slim (60,1 milliards de dollars), les deux leaders du célèbre classement des fortunes mondiales établi par le magazine Forbes et mis à jour quotidiennement. 

  Il propose de rembourser la dette nationale des Etats-Unis ! 

C'est même un record mondial qui venait d'être battu. Avec ce chiffre, Reggie Theus devenait le premier "trillionaire" de l'histoire, rang correspondant à une fortune de plus de 1 000 milliards de dollars. "J'ai vérifié, et il n'y a jamais eu de 'trillionaire' jusqu'ici. Donc, techniquement, je suis peut-être le premier de tous les temps", glisse, malicieux, le Texan. 
Si Reggie Theus prend toute cette histoire avec second degré, c'est bien évidemment parce que cette fortune inattendue était en fait liée à une erreur de la banque. Précisément, c'est un problème technique durant une mise à jour des données électroniques de la banque en question qui est à l'origine de cette erreur, qui a finalement été rectifiée très rapidement. 

Dommage pour les Etats-Unis, actuellement en grande difficulté financière, car Reggie Theus s'était proposé d'utiliser 3 000 milliards de dollars de son éphémère fortune personnelle pour rembourser la dette du pays ! La banque en question, elle, n'a pas souhaité que son nom soit rendu public. On la comprend aisément...

En savoir plus : http://www.gentside.com/insolite/l-039-incroyable-histoire-de-reggie-theus-devenu-l-039-homme-le-plus-riche-du-monde-par-erreur_art55201.html

Decouvrir Pourquoi les femmes des riches sont belles

       
  Loin des caricatures qui emplissent certains magazines, la Psychologie Evolutionniste apporte des réponses scientifiques solides à de nombreuses questions qui nous préoccupent. Depuis la première édition de cet ouvrage, les découvertes scientifiques se sont accumulées et ont confirmé et précisé l’importance de l’influence génétique sur notre comportement. Désormais, l’approche évolutionniste est devenue le cadre général de la psychologie. Le cerveau humain ne se décrit plus sans y faire référence. 


        Facile à lire et très pédagogique, cet ouvrage scientifique explique de manière claire et ludique les concepts principaux de l’EVOPSY (de l’influence génétique à la compétition sexuelle) et offre à chacun les bases nécessaires pour comprendre les découvertes actuelles (notamment en génétique du comportement) et leurs impacts sur la société (clonage, eugénisme, etc.). Un outil indispensable pour à la fois comprendre le monde, et découvrir comment les scientifiques le comprennent aujourd’hui ! Pourquoi les femmes des riches sont belles s’adresse évidemment à toute personne concernée par les relations hommes-femmes, mais également aux professeurs et étudiants en biologie et en psychologie, pour qui il sera une introduction efficace aux ouvrages plus spécialisés


samedi 14 octobre 2017

La première fois ou j’ai expérimenté la loi d’attraction

Aussi loin que je me souvienne en remontant dans ma plus petite enfance j’ai toujours su que la vie est magie. J’avais cette certitude , je ne savais pas vraiment ce que cela voulait dire et surtout comment ça pouvait se traduire dans le quotidien mais mes ressentis étaient si profonds qu’il n’y avait aucune autre réalité pour moi .
Tout ce que j’observais et ressentais me confirmait l’existence de cette dimension invisible que je savais prodigieuse, la beauté de la nature et des animaux emplissait mon cœur d’amour et de ravissement et m’emmenait toujours plus loin dans cette idée de possibilités infinies flottant autour de moi. 
A ce moment là, je n’avais aucun mot pour décrire cela et devant les vies ternes et souvent malheureuses que j’observais dans mon entourage proche, ce sujet n’avait pas sa place. Je sentais bien qu’il aurait été balayé en un revers ou ignoré alors j’ai préféré garder en moi cette sensation, certaine que je saurais un jour comment cela fonctionne vraiment .
En fait, j’ai expérimenté la loi de l’attraction toute petite sans le savoir. A chaque fois que j’avais un souhait très important je passais des heures à en rêver, à imaginer en détail comment ça serait si j’avais déjà l’objet de ma convoitise, je créais dans mon imaginaire la scène telle que je voulais là vivre et ressentais profondément la joie. C’était omniprésent dans mon esprit , j’en rêvais même la nuit et passais toujours de longs moments avant de dormir à créer et éprouver mon futur bonheur.
Ce qui m’a le plus interpellée c’est lorsque j’étais à l’école primaire, j’avais une dizaine d’année et j’étais très amoureuse d’un de mes camarades qui avait tendance lui à m’ignorer. Un soir alors que je rentrais à pied chez moi, je l’ aperçu en voiture avec sa mère et une autre fille de la classe. J’en ai déduit immédiatement qu’il était peut-être amoureux d’elle et suis rentrée très triste chez moi .
Ce soir là avant de dormir, j’ai laissé mes doutes et ma déception de côté et j’ai décidé de me réconforter en créant dans mon imaginaire ce que j’aimerais vivre avec lui. J’étais totalement bien, heureuse car je ressentais un grand bonheur de nous voir unis dans ma tête et dans mon cœur ce qui m’apaisais beaucoup . Il s’est passé quelques jours comme ça, à l’école je me tenais à l’écart de lui mais ma surprise fut immense lorsqu’un soir avant l’étude il vint me trouver pour discuter ..  Il m’avoua alors ses sentiments profonds avec la même intensité et presque les mêmes mots que ceux que j’avais dessiné des jours avant à l’intérieur de moi , nous étions exactement au même endroit, la scène entière de mon esprit venait de se jouer dans ma réalité et il resta mon amoureux pendant toutes mes années d’école primaire.
Ce fut ma première expérience  marquante de création délibérée.  Je ne manqua pas de continuer à utiliser ce processus malgré mon jeune âge ce qui continua à m’épater. Je pensais toujours « quand je veux quelque chose je l’ai toujours et je sais que ça sera toujours comme ça ». J’avais cette fois inébranlable en cette possibilité créatrice à notre disposition malgré que mon enfance et mon adolescence furent dans l’ensemble assez difficiles. Je ne comprenais tout simplement pas pourquoi les gens ignoraient leur pouvoir, pourquoi ils restaient enfermés dans leur grisaille alors que moi je voyais depuis toujours le monde des possibles flotter autour de nous.


Une fois adulte ..

J’ai découvert le nombre considérable d’ouvrage sur le sujet avec émerveillement, ce que je savais depuis toujours existait bel et bien pour d’autres aussi.. mais je me suis surtout rendu compte à quel point j’avais inversé la tendance durant des années en pratiquant dans le mauvais sens cette loi. Je faisais l’expérience du mal être constant, des crises d’angoisses et des phobies résultant du tumulte familiale vécu pendant plusieurs années. Ma vie était un vrai chantier, j’étais instable et malheureuse en amour , j’avais un job que je ne supportais pas , jamais d’argent et des tracas quotidiens .. c’était pas brillant.
J’avais perdu de vue, engluée dans ce marasme familiale cette possibilité créatrice qui appartient à tout être humain et au contraire je n’étais que plainte, tristesse et désarroi devant ma vie, ce génie intérieur était tombé aux oubliettes de ma conscience remplacé par le mode angoisse/survie qui aspirait tout mon temps et mon énergie et créait en continu la même réalité..


Une loi connue des enfants

Un enfant ne se pose jamais la question, il sait que tout est possible.
Lorsqu’on est enfant tout est ouvert, nous sommes encore profondément reliés au divin et saisissons naturellement les forces invisibles qui nous gouvernent  mais au fil du temps et en fonction de ce qui est vécu dans la sphère familiale, cette conscience supérieure qui s’établit par le cerveau droit se referme. Apparaît  alors des êtes étriqués, prisonniers des conditionnements transmis par leur lignée et le milieu socio-culturel dans lequel ils évoluent. Nous devenons des cerveaux gauches hyperactifs reliés à la conscience inférieure dont le mental mouline du négatif en permanence car il prend sa source non plus dans l’amour mais dans la peur. Nous perdons à ce moment notre lien avec cette loi spirituelle pour adopter le mode possible/impossible des autres.

Petit nous sommes dépendants  et notre horizon est limité alors nous croyons et  nous conformons à ceux de qui dépend notre survie, il n’y a plus de place pour le divin dans l’humain, les codes et apprentissages erronés balayent tout et dissimulent notre essence véritable .
Je crois sincèrement que la mission de vie de tout être humain est de renouer avec cette divine partie de lui. De retrouver son essence, de s’affranchir de tous les concepts appris qui définissent sa réalité.

Et s’il ont croyait que tout est possible plutôt que de rappeler sans cesse à notre conscience les limites que l’esprit humain s’impose à lui même?

Nous sommes tous d’accord sur le fait que les miracles existent, que certains humains sont hors du communs, ont des vies époustouflantes de réussite (et ce malgré les différences sociales, raciales, religieuses etc..)  alors que d’autres  évoluent dans une spirale négative en continu comme victimes d’un mauvais sort. On parle alors de chance ou de malchance, de destin, de fatalité , de gens qui ont ” tout pour eux” ou au contraire de ceux contre qui le sort parait s’acharner. Tout cela tient au simple fait que les premiers ont saisi leur pouvoir de créateur quand les seconds sont encore passifs.
Notre responsabilité  réside justement dans notre capacité à remettre en question le paradigme dans lequel on évolue s’il ne nous convient pas, d’avoir l’audace de regarder en face notre formatage et de nous en affranchir. Tout part de ce qui vit profondément en nous, nos apprentissages, nos expériences de vie, les schémas de pensées et d’émotions qui y sont associés. La loi de la résonance est en œuvre  chaque seconde et répond à notre état intérieur, notre état vibratoire ( nos pensées, nos émotions , nos ressentis profonds , nos intentions et nos actes ).
L’humain s’il veut reprendre le pouvoir doit développer sa conscience c’est à dire sa présence à lui même et à la vie. il doit ré-apprendre à se relier à son essence, à qui il est vraiment et se détacher de sa personnalité formaté par un système. La vie est une succession de choix et il n’y a qu’au prix de la conscience individuelle que la collectivité humaine pourra sortir peu à peu de sa folie. Devenir conscient c’est stopper le mode pantin téléguidés, c’est arrêter de subir, c’est faire entendre sa voix , se guérir et guérir le monde.

Concrètement, comment s’initier et s’aligner à cette loi ?


  • En développant sa conscience:   l’auto-observation pour repérer mes schémas de pensées et les transformer s’ils ne sont pas en adéquation avec ce que je veux voir apparaitre dans ma vie. Attention c’est un choix délibéré et pas une obligation, il arrive parfois qu’on ne parvienne pas à changer son état d’esprit ou qu’on en ai pas envie, c’est à vous de choisir quel chemin vous voulez emprunter en conscience sans vous taper dessus si momentanément vous êtes bloqué(e) dans des ruminations négatives et des plaintes. Ça fait du bien aussi de ronchonner après nos frustrations alors lâchez tout pour mieux vous recentrer ensuite. Il faut parfois attendre que l’envie d’aller mal cesse pour rebondir. Développer la présence c’est dire oui à la vie et stop au pilotage automatique.
  • La vigilance à tout ce qui vit et s’exprime en nous: Et cela passe par un discours intérieur et extérieur positif. choix et vigilance des mots et formules que j’utilise car les mots et pensées sont energetisés et attirent leurs semblables, ils ont un impact direct sur la façon dont on se sent et renforcent nos connexions neuronales, c’est à dire notre mode positif ou négatif alors prenez grand soin de vos mots et de vos pensées.
  • l’entrainement intensif à tourner son esprit vers ce qui est beau et positif autour de nous: un travail de chaque instant qui peut être difficile au départ car l’humain est naturellement tourné vers le négatif mais qui devient assez rapidement une nouvelle façon de fonctionner. Il faut faire de son mieux car encore une fois ça peut être éprouvant au début, ça l’était pour moi et ça l’est encore par moment et quand ça veut pas ça veut pas , on lâche puis se repositionne.
  • la gratitude pour tout ce qui me ravie et qui existe dans ma vie de la plus petite chose à la plus grande. Ca peut donc aller de trouver mes ongles jolis à vivre une très belle histoire d’amour. Faire la liste chaque jour de tout ce pour quoi on peut éprouver une immense gratitude ( la santé, un toit, à manger, de beaux cheveux, un animal qui ronronne,un lit douillet..)  la relire et s’en imprégner. C’est faire la chasse à toutes les belles choses déjà présentes dans notre vie et vous allez voir il y en a plus que vous ne l’imaginer!
  • les supports pour entretenir la joie :films, livres inspirants, spectacles comiques, personnes positives, témoignages ébouriffants de personnes « hors du commun » ou qui ont un parcours de vie qui vous inspire et vous motive, se saturer l’esprit de tout ce qui porte et fait du bien notamment une alimentation santé qui soutient et renforce l’équilibre émotionnel et augmente notre taux vibratoire.
  • Le tableau de visualisation : sur lequel vous accrocherez des images sélectionnées avec soin de la vie de vos rêves ( maison, famille, voyage..) à avoir le plus souvent sous les yeux car même si vous ne le regardez pas , votre inconscient lui l’enregistre et génère des choses en rapport avec cela, accrochez le dans un endroit ou vous pouvez le voir très souvent. C’est un très bon support de travail.
  • Des objectifs et souhaits précis : définissez bien ce que vous voulez ou en tous cas ce que vous ne voulez vraiment plus. Si notre esprit est flou, l’univers nous répond du flou.
  • La visualisation et la sensation : Une fois que vous avez défini vos objectifs de vie, prenez un temps chaque jour pour visualiser cela comme ci ça s’était déjà produit. Personnellement, je prends un temps le soir avant de m’endormir , je me détends avec de la respiration profonde et je place une main sur mon cœur pour le sentir battre en même temps que je provoque en moi la joie et les sentiments positifs associés à ma réussite. Projetez vous et ressentez  le plus souvent possible c’est le plus important, nul besoin de rituels, de cérémonies ou de séances de méditation si ce n’est pas votre truc, branchez vous simplement sur vos intentions.
  • Faire confiance à l’univers sans s’occuper des moyens par lesquels les choses vont arriver , c’est assez difficile aussi au départ , il s’agit de lâcher prise et de garder la conviction profonde que ça arrive .
  • Libérer ses blessures d’âme, parfois il est nécessaire de rencontrer une personne qui nous aidera à transmuter nos empreintes de souffrance (un thérapeute, un chanel, un médium, un énergéticien, etc..) , à vous de voir vers quelle approche/personne vous êtes spontanément attiré(e) car soyez sûr(e) que c’est celle dont vous avez besoin. Cet accompagnant vous aidera à vous libérer mais c’est votre responsabilité, votre implication et votre motivation dans ce travail personnel qui feront toute la différence. Tout part de vous.

Cette loi à redécouvrir est un outil très puissant de guérison, nous sommes tous reliés et chacune de nos pensées et émotions, chacun de nos actes a des retentissements sur le monde qui nous entoure.
Voyez votre esprit comme un aimant qui attire à lui tout ce sur quoi il met du poids.


 Déterminer- visualiser- ressentir et avoir une foi inébranlable en notre univers