lundi 8 mai 2017

Elèv lekol nasyonal mège ki nan komin gresye ap manifeste

Nan moman sa a siw prale Jakmel, okay oubyen jeremi ou nan gro problèm
Elèv yo fè konnen yo ap bloke lari a jis rive 10 zè aswè a, paske yo genyen anpil tan yo ap soufri san yo pa jwenn profesè ki pou travay avek yo.

dimanche 7 mai 2017

Un nouveau malware sur Android toutes les 10 secondes

Comme chaque année, la société G Data fait un point sur le nombre de malwares visant Android et fournit une prévision pour l’année suivante. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Android est de plus en plus ciblé et les chiffres sont inquiétants.
G Data explique que plus de 750000 nouvelles applications malveillantes ont été découvertes et que près de 8400 échantillons de nouveaux malwares sont localisés chaque jour. De quoi donner du fil à retordre à Google, mais aussi aux sociétés spécialisées dans la sécurité. La forte part de marché d’Android dans le secteur des OS mobile, en fait une cible de prédilection pour les pirates.
D’après G Data, 8400 échantillons de nouveaux malwares sont localisés chaque jour
En 2016, G Data avait enregistré 3,246 millions de menaces et d’après les chiffres du premier trimestre, la société a pu effectuer une prédiction, qui amènerait ce chiffre à faire une nouvelle fois un bond, en passant à plus de 3,5 millions. Il est très loin le temps où l’on dénombrait “seulement” 210.000 menaces en 2012…
Il est toutefois nécessaire de relativiser ces chiffres car d’après le rapport émanant de chez Google, en 2016, seuls 0,05% des smartphones Android avaient été touchés par une application malveillante, lorsque les utilisateurs passaient uniquement par la plateforme Google Play pour leurs téléchargements. Le risque proviendrait donc d’autres magasins d’applications, moins enclins à vérifier les applications présentes dans leur base.
G Data commercialisant une solution de sécurité pour les appareils mobiles, il est donc assez normal que cette dernière cherche à montrer des chiffres inquiétants. Reste que Play Store n’est pas non plus à l’abri d’intégrer des applications malveillantes, de nombreux exemples ont démontré ces derniers mois que des certaines fausses applications passaient à travers les mailles du filet. La prudence est donc de mise au moment de télécharger des applications sur un mobile, lorsque l’on lit qu’un nouveau malware exploite une brèche dans l’une des nombreuses versions Android toutes les 10 secondes…
Les règles de base pour s’épargner 99% des problèmes de malware sur mobile sont : disposer d’une version récente de l’OS mobile, utiliser uniquement le Play Store, vérifier les infos sur l’application avant de télécharger la première venue et surtout réfléchir avant de cliquer sur une demande d’autorisation.

Lire la suite de l‘article sur Begeek.fr

D’après Stephen Hawking, il nous reste 100 ans à vivre


Le célèbre astrophysicien, qui donnait encore à l'humanité 1000 ans à vivre, vient de rabaisser l'échéance à 100 ans et recommande de faire de la colonisation d'autres planètes une priorité pour avoir une chance de survivre.
Stephen Hawking, dont la parole est souvent écoutée, a une nouvelle fois fait une prévision alarmiste quant à la survie de l’espèce humaine. Lui qui affirmait il y a encore quelques semaines que nous disposions d’un millénaire pour trouver une solution, vient de réduire ce délais à seulement un siècle. D’après lui, il nous reste 100 ans pour trouver une nouvelle planète et commencer à la coloniser.




vendredi 5 mai 2017

Premier vol d'un nouvel avion solaire suisse

Le prototype SolarStratos a réalisé un premier vol d'essai de 7 minutes, vendredi à Payerne, en Suisse.

Le prototype SolarStratos a pris son envol pour la première fois à Payerne, dans la canton de Vaud. Il vise un record d'altitude, dans la stratosphère.
Après le tour du monde par escales de Solar Impulse, c'est un autre projet fou d'avion solaire qui a décollé de Suisse. Pour ce premier vol depuis l'aéroport de Payerne (canton de Vaud), le pilote d'essai Damian Hischier n'est resté en l'air que 7 minutes, à une altitude maximale de 300 m, mais il a déclaré que la «sortie s'est parfaitement déroulée». Le vol s'est déroulé en présence de Bertrand Piccard, pilote de Solar Impulse, dont la base était aussi installée sur l'aéroport de Payerne.
L'objectif de SolarStratos est d'atteindre, en 2018, la stratosphère, à plus de 80.000 pieds d'altitude, soit 24 .000 mètres. L'avion, imaginé par l'aventurier suisse Raphaël Domjan, est propulsé par un moteur électrique qui tire son énergie des panneaux solaires recouvrant les ailes. L'appareil biplace, qui ne pèse que 450 kg pour une envergure de 25 m, a été construit et dessiné par Calin Gologan de la société Elektra Solar.
Le voyage jusqu'à la stratosphère durera environ cinq heures: deux heures et demi d'ascension, quinze minutes la tête dans les étoiles, puis trois heures pour redescendre sur terre. En 2012, Raphaël Domjan avait déjà réalisé le premier tour du monde à l'énergie solaire à bord du bateau PlanetSolar.








Trois questions sur Epsilon Eridani, le système planétaire qui serait (très) similaire au nôtre


La Nasa a livré, mardi, de nouvelles précisions sur ce système qui captive les scientifiques depuis les années 1960.

L'agence spatiale américaine a publié, mardi 2 mai, des précisions (en anglais) sur un système planétaire baptisé "Epsilon Eridani". Les chercheurs s'intéressent à ce système depuis les années 1960. Ils l’avaient choisi pour être l’une des trois premières étoiles à être écoutées avec le radiotélescope de Green Bank, situé en Virginie occidentale aux Etats-Unis, dans le but de percevoir une éventuelle émission extraterrestre, rappelle Ciel & espace.

Où se trouve Epsilon Eridani ?
Quelque 10,5 années-lumière nous séparent de ce système planétaire. Une distance relativement faible : l'étoile la plus proche de nous, Proxima Centauri, se trouve à 4,24 années-lumière. En comparaison, le prometteur système Trappist-1, qui abrite sept exoplanètes, est à 39 années-lumière de la Terre.

Qu'abrite ce système ?

On y trouve une jeune étoile similaire à notre soleil qui est entourée d'au moins deux ceintures de débris. La distance entre l'étoile et cette première ceinture est semblable à celle qui sépare notre soleil de la ceinture d'astéroïdes de notre système solaire, qui se situe entre les orbites des planètes Mars et Jupiter, rappelle l'Observatoire de Paris. Sciences et avenir explique que la deuxième ceinture est plus éloignée. Si on ramenait l'ensemble à notre système, elle serait "à peu près située sur l'orbite d'Uranus qui est l'équivalent chez nous de la ceinture de Kuiper", que l'on trouve après les huit planètes principales, environ 40 fois la distance Terre-Soleil.
Au sein d'Epsilon Eridani, on trouve également une gigantesque planète semblable à Jupiter, 51 Eridani b. La distance qui la sépare de son étoile est proche de celle entre notre Soleil et Jupiter. Cette planète est très grande avec une masse deux fois environ celle de Jupiter. Elle est aussi moins chaude que les autres exoplanètes nouvellement formées à 426°C.
Ilustration de la Nasa qui compare l'agencement de notre système solaire à celui d'Epsilon Eridani. (NASA / SOFIA / LYNETTE COOK)
Pourquoi est-ce important ?
Les scientifiques ne cessent de scruter le ciel pour mieux comprendre nos origines : celles de l'univers, mais également celles de notre système solaire et, bien sûr, de la Terre. Et il se trouve qu'Epsilon Eridani présente de nombreux éléments pour les aider dans cette tâche. Ce système est jeune par rapport au nôtre : il n'aurait que 1,1 milliard d'années alors que le nôtre s'est formé il y a 4,5 milliards d'années.
"Cette étoile héberge un système planétaire qui subit actuellement les mêmes processus cataclysmiques qui se sont produits au sein du système solaire dans sa jeunesse. Au moment où la Lune a gagné la plupart de ses cratères, la Terre l'eau de ses océans et que des conditions favorables à la vie se sont installées sur notre planète", détaille Massimo Marengo de l'université de l'Iowa.
Davantage de détails sont à prévoir avec le lancement en 2018 du James-Webb Telescop, qui se placera en orbite à 1,5 million de kilomètres de la Terre et aura une sensibilité 100 fois plus grande que Hubble, qui vient de fêter ses 27 ans.

dimanche 30 avril 2017

1er Mai 2017 destination Jacmel Haiti

Jacmel est une commune d'Haïti, chef-lieu du département du Sud-Est et de l'arrondissement de Jacmel.


Géographie

La ville se trouve sur la rive gauche de l'embouchure de la rivière de la Cosse (appelée aussi « Grande Rivière de Jacmel »), à l'endroit où celle-ci jette dans la baie de Jacmel. La rivière des Orangers traverse la ville de Jacmel avant d'aller se jeter dans la Grande Rivière de Jacmel au niveau de son embouchure sur la baie de Jacmel.
À l'ouest, se trouve l'embouchure de la Petite Rivière de Jacmel et son site naturel et touristique de Bassin Bleu.

Démographie

La commune est peuplée de 170 289 habitants(recensement par estimation de 2009), dont 39 643 habitants pour la ville elle-même, appelés Jacméliens.
Le dynamisme économique de cette ville se retrouve dans son accroissement démographique, mais une réelle politique d'urbanisme reste encore à mener, au risque de voir les bidonvilles y proliférer comme cela est le cas pour le reste d'Haïti.

Administration

La commune est composée des 11 sections rurales de :
·         Bas Cap Rouge (Orangers)
·         Cap Rouge
·         Fond Melon (Selles)
·         Cochon Gras
·         La Gosseline
·         Marbial
·         Montagne La Voûte
·         Grande Rivière de jacmel
·         Bas Coq Chante
·         Haut Coq Chante
·         Le Vanneau
·         La Montagne

Histoire

Fondée en 1698 par la Compagnie de Saint-Domingue, Jacmel a prospéré grâce au commerce maritime. En 1804, à l'heure de la Révolution haïtienne, Jacmel est un port méridional stratégique. Elle est contestée en 1799 par les généraux Toussaint Louverture et André Rigaud. C'est le lieutenant de Rigaud, le futur président Alexandre Pétion, qui s'occupe de la défense de Jacmel, lors de la guerre des couteaux. Une véritable guerre d’extermination est menée contre les mulâtres du Sud ; près de 10 000 d’entre eux périssent malgré l'intervention de l'officier supérieur Magloire Ambroise qui sauva la vie de centaines de familles respectées à Jacmel et fut considéré comme un héros par la population de cette ville à cette époque et qui sera nommé commandant de Jacmel en 1802 par Jean-Jacques Dessalines. Les forces de Toussaint assiègent la ville en 

Sites

Les plages de Kabik, Ti mouillage et Raymond des Bains constituent une forte activité touristique, d'origine locale ou issue de la diaspora haïtienne, notamment pendant la période estivale.     La chute de Bassin Bleu.    Les Cascades Pichon « le trou », jet d'eau reconnu pour sa célèbre fête annuelle, dite « fête 6 janvier ».
Urbanisme et patrimoine architectural
L'histoire économique et urbaine ainsi que le patrimoine architectural du centre ancien ont bien été étudiés dans le cadre  d'une collaboration entre l’Institut de sauvegarde du patrimoine national (ministère de la Culture haïtien) et l’Inventaire général du patrimoine culturel (ministère de la Culture et de la Communication français). La synthèse du travail d'inventaire a été publiée dans la revue électronique en ligne In Situ, revue des patrimoines.
Culture
Jacmel possède une activité carnavalesque notable dans la région caraïbéenne, et un de ses personnages (la robalagallina, imitation ou caricature de la femme de planteur) a été adopté par le carnaval de République Dominicaine. Le comportement festif des Jacméliens leur vaut une renommée de « dyoles » (exhibitionnistes).
Au cours des célébrations de Pâques, un grand défilé de bandes de rara sous les rythmes de petro et congo, y est organisé. Les autorités civiles l'organisent afin de promouvoir la culture haïtienne qui est très liée à celle de l'Afrique australe.
 Jacmel est également connue pour ses manifestations de la fête patronale le premier mai de chaque année. Durant cette fête, les groupes musicaux d'Haïti se retrouvent à Jacmel et dans ses environs pour des concerts qu'on appelle en créole haïtien « bal ». Le 18 mai, les Jacmeliens fêtent leur drapeau par de grands défilés de fanfares dans toute la ville.En novembre Jacmel perpétue la traditionnelle « Fête des Morts » (1er et 2 novembre).

lundi 24 avril 2017

Sanbot, le robot à tout faire de Qihan Tech

Qihan Tech, le constructeur chinois du robot Sanbot, a doté sa machine humanoïde d'une API ouverte afin de lui permettre de faire « tout ce qu'elle veut ». Et les développeurs s'en donnent à coeur joie.



Vous avez besoin d’un tuteur, d’un guide, d’un douanier ? Sanbot peut occuper toutes ces fonctions. S’il semble un peu perdu dans notre monde avec ses grands yeux de personnage de bande dessinée et ses bras de flipper, l’humanoïde de moins d’un mètre de haut est vraiment prêt à vous rendre service. Et à « faire » le job. Pour cela, Sanbot est équipé de 14 capteurs répartis sur toute sa hauteur, dont plusieurs sont sensibles au toucher, si bien que le robot peut répondre « avec la même émotion qu’un humain » à une tape particulière. De plus, avec ses sept microphones et l’es capacités analytiques d’IBM Watson, il peut réagir aux commandes vocales et savoir où se trouve la personne qui lui parle. Les utilisateurs peuvent aussi toucher l'écran HD de Sanbot ou lui demander de diffuser de la musique ou de projeter une présentation sur un mur à partir d’un smartphone.

Sanbot a été créée par Qihan Technologies, une société chinoise spécialisée dans les équipements de vidéosurveillance. L’idée du constructeur est de confier au robot des emplois peu inintéressants pour l’homme et qu’il profite plus pleinement de son temps. « La vie humaine courante est pleine de tâches très répétitives et très ennuyeuses », a déclaré Lennic Qian, vice-président du marketing mondial de Qihan. « Nous voulons donner aux gens la possibilité de se concentrer sur des tâches plus créatives et plus innovantes. Et demander au robot d’accomplir ces travaux répétitifs ». Selon lui, plus de 60 000 Sanbot ont déjà été déployés en Chine. Ces robots humanoïdes occupent déjà des postes d’agent d’accueil dans un magasin de meubles haut de gamme, de tuteur pour des élèves de maternelle et même de douanier à l'aéroport.

Sanbot n'est pas le premier robot à prendre du service. C’est le cas par exemple des robots de Future Robot qui occupe des fonctions très actives d’accueil des voyageurs à l'aéroport de San José. Il faut aussi, bien évidemment, mentionner les robots de service Pepper d’Aldebaran, employés dans les hôpitaux et les magasins. Mais selon Lennic Qian, Sanbot est différent parce qu’il est fabriqué avec des matériaux de qualité provenant de grandes entreprises comme Panasonic (batterie), Sharp (écran) et Sony (caméra). Les robots sont vendus en Chine, aux États-Unis et en Europe sur le marché B2B. Leur prix ? Environ 10 000 dollars HT. Qihan Tech prévoit de sortir une seconde version de son Sanbot en janvier de l'année prochaine pour le CES 2018.

Savoir plus